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TRIHORT585  - T.T. 1h 18'24

Dans cette débauche d’invention, d’harmonies parfois surprenantes, dans cette créativité sans limites qui impose à l’oreille du mélomane un « nouveau » Mozart, il serait erroné de considérer ces fantaisies comme un simple laboratoire de forme musicale : avant lui, Carl Philipp Emmanuel Bach avait trouvé en la fantaisie la forme la plus à même d’exprimer sa créativité sans limites. C’est donc aussi grâce à cette forme que Mozart n’est pas seulement un révolutionnaire, mais qu’il s’inscrit dans une histoire de la musique, avec ses modèles, ses inspirations : s’il fallait parler de modèle, il se trouverait ici indubitablement du côté de Carl Philipp.

Le pianoforte Baumbach 1780 appartenait à l’abbé de Vermond, confesseur de Marie-Antoinette, Reine de France.

Claviériste passionné, Florent Albrecht s’est formé au piano moderne auprès de Laurent Cabasso, au pianoforte avec Pierre Goy et au clavecin dans la classe de Kenneth Weiss. Après une première carrière dans l’industrie du luxe notamment, soutenu par ses amis musiciens, il intègre en pianoforte le Conservatoire de Genève (HEM) dont il sort major en 2018.

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Jean-Luc ETIENNE

TH576

Hommage à un créateur trop peu reconnu…

Jean-Luc Etienne, un musicien authentique et sans concession

« Si ses activités englobent l’enseignement – il est successivement professeur d’orgue à l’École Départementale de Musique des Alpes-Maritimes (1988), au Conservatoire à Rayonnement Régional de Nice (1996), avant de rejoindre en 2007 le Conservatoire à Rayonnement Régional de Tours – et les concerts, durant lesquels il aime faire entendre musiques anciennes et d’aujourd’hui, Jean-Luc Étienne aime se définir comme compositeur. Rejetant d’emblée toute représentation officielle jugée inauthentique, il reste, probablement pour cette raison, relativement peu connu du grand public. Certaines de ses pièces, il est vrai, ont déjà eu les faveurs du disque au milieu de panoramas contemporains (Naissance d'un Grand Orgue, Classiques de demain, Triton TRI331154, 2008 ; Hier & Aujourd'hui, Triton TRI331162, 2009). Mais le présent enregistrement, première monographie du musicien, se présente donc comme un évènement quki rend justice à un créateur de premier plan.

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TriHort577 - 78'14

Hendrik Hofmeyr (1957) :

  • Deux Chants d’anniversaire
  • Woorde in die wind
  • Fantasia sopra senzeni na

Arnold van Wyk (1916-1983) :

  • Nagmusiek
  • Van Liefde en Verlatenheid

Après Partita Africana, un album de musique de chambre consacré à Hendrik Hofmeyr (Choc de Classica), Marika Hofmeyr nous invite à découvrir des pièces écrites pour la voix par Hofmeyr et van Wyk. Les onze lieder choisis sont composés sur des poèmes de personnalités sud-africaines de stature historique, tous écrits en afrikaans, langue parlée par plusieurs millions de citoyens de la nation arc-en-ciel. La compréhension et la diction de mélodies écrites dans une langue très idiomatique et pratiquée dans un seul pays interroge sur le choix de l’interprète. Même si l’afrikaans ressemble au néerlandais, sa prononciation sensiblement différente et sa grande expressivité phonétique nécessitent une chanteuse dont l’afrikaans est la langue maternelle. Ainsi Hendrik Hofmeyr a proposé Minette du Toit-Pearce. L’album inclut 2 œuvres pour piano dont Nagmusiek de van Wyk.

Regarder la vidéo de présentation : ici

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TRIHORT 575

Compositeur : Renaud Gagneux (1947-2018)

Nozomi Misawa, piano
Laure Morabito
, clavecin

Hiromi Asai, récitante
Akihiro Nishida
, récitant


Pour découvrir ce nouvel album consacré à une quarantaine de haïkus japonais mis en musique par Renaud Gagneux, nous conseillons de suivre les recommandations du compositeur :

le haïku doit être écouté en japonais avant la musique,

une pose s’ensuit permettant d’imaginer la nature qui inspira le poète,

alors, la musique qui en découle peut être écoutée…