Ludmilla Guilmault et Jean-Noël Dubois - Erik Satie
- Description
TRI331209 63’01
Ludmilla Guilmault et Jean-Noël Dubois fêtent à deux ou quatre mains et avec humour les 150 ans d’Erik Satie sur "un Bösendorfer légèrement désaccordé pour conférer à certaines pièces un côté bastringue, plusieurs relevant du genre Caf'conc." (Thierry Vagne)
Sur ce CD : 7 Gnossiennes, Embryons desséchés, Esquisses et sketch Montmartrois, La Belle excentrique, Véritables préludes flasques pour un chien…
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Produit
Extrait des pistes
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5
Tracks Total
Nom |
Extraits |
02 Gnossienne n° 1
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03 Les Pantins dansent
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16 Véritables préludes... sévère réprimande
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20 Embryons desséchés D'Holothurie
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29 Gymnopédie
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"Satie est le triton que l’on chasse, que l’on appâte avec Il pleut, il pleut bergère, que l’on déguste avec ou sans modération. Ce petit embryon, une fois hydraté, donnera naissance à plusieurs souches musicales.
Le rétrovirus S.A.T.I.E. (Syndrome Atypique Trisomique de l’Interprète et de l’Embryon) se niche à côté de la paire chromosomique n° 15. On retrouve le S.A.T.I.E. chez les minimalistes, les surréalistes, les répétitivistes, en revanche les auteurs de critiques musicales semblent être immunisés.
La loi nous oblige néanmoins à prévenir les auditeurs du risque élevé de contagion auditive et d’addictions sévères.
Entrez avec eux dans la machine à remonter le temps…"
Textes humoristiques de J-N. Dubois
Avignon, le 20/07/2016
"Quand on découvre l’état de leurs partitions (chiffonnées, annotées, biffées…), on s’attend au pire ; puis Ludmilla Guilmault (sorte de Zazie sortie tout droit du métro après toutes ces années, mais ayant refusé de vieillir), s’installe au piano… et la magie opère. Satie, l’autre “deux mains“ de ce spectacle, est interprété par Jean-Noël Dubois, un grand échalas du genre Zébulon à côté de la plaque. Là encore, il y a ce qu’il dit, ce qu’il fait et ce qu’il joue : au clavier, c’est l’état de grâce.
Le couple à la scène s’entend également pour des quatre mains féériques. La seule contrainte visible à ces deux-là : ne jamais se prendre au sérieux."
Didier Blons
Radio albatros